Ce papa se fait tatouer six petites crottes en hommage à ses enfants
2345 | Par Dulourd
Bobby Wilson, un père fier, a décidé de rendre un hommage inhabituel à ses six enfants en se faisant tatouer leurs noms... à côté de six petits cacas.
Originaire de Port Orchard à Washington aux Etats-Unis, Bobby a expliqué qu'il avait choisi ce dessin car il appelle ses enfants ses 'petits merdeux' depuis des années. A 33 ans, il est le père de Bobby, 14 ans, Riley, 12 ans, Lilliana, 10 ans, Chase, 9 ans, Silas, 6 ans et Léla, 3 ans.
Bobby, qui possède une entreprise de soudure et de fabrication, a déclaré :'J'appelle mes enfants mes petites crottes / mes petits merdeux, depuis des années, alors pourquoi ne pas mettre des crottes sur ma jambe avec des mouches, aussi ?' Et il l'a fait !
'Tout le monde pense que c'est un tatouage très drôle, unique en son genre. Lilliana pense que c'est dégoûtant. Les autres ne peuvent pas s'empêcher de rire et de glousser' déclare-t-il. Original n'est-ce pas ?
Le tatoueur Matt Pehrson, qui travaille à la Zion Tattoo Company à St George, dans l'Utah, a créé une incroyable pièce d'illusion d'optique, donnant l'impression d'un énorme trou béant dans la tête de son client.
Pour cela, Matt a encré une série de lignes épaisses sur le crâne chauve de son ami Ryan, en le détournant vers l'intérieur, à l'arrière de son crâne. Puis, à l'aide d'astucieuses astuces d'ombrage, Matt a créé une illusion accrocheuse pour faire croire que Ryan avait un énorme trou à l'arrière de la tête.
Il a partagé une photo en noir et blanc et une en couleur de sa réalisation, et celles-ci ont récolté plus de 11 000 likes.
Si vous aimez sa réalisation, on vous en met d'autres ci-dessous :
Assis sur le canapé de son appartement de Walthamstow, au nord-est de Londres, avec son chien Pingu à ses côtés, Chris Woodheard tente de trouver de la place pour ajouter un autre tatouage à son corps déjà bien rempli.
Le tatoueur s'est lancé le défi de se faire un nouveau tatouage chaque jour pendant le confinement. Au début de la pandémie, il comptait déjà près de 1000 tatouages sur son corps, désormais, il en dénombre donc 1040.
'J'ai commencé à me tatouer tous les jours pour créer une sorte de structure à notre époque apparemment sans but' raconte l'homme de 33 ans. 'C'est spécial que mon corps évolue autant au cours du processus. Je continuerai jusqu'à ce que je manque complètement d'espace' poursuit-il.
Ainsi, chaque jour entre 14h et 16h, il prend le temps de dessiner ce qui lui inspire le confinement avant de se le tatouer sur le corps. 'Le tatouage est thérapeutique. Je dessine ce que j'ai dans la tête et en ce moment, il n'y a pas grand chose d'autre que cette crise' confie-t-il.
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